lundi 30 juillet 2007

Le socialisme et le libéralisme, incompatibles ?

Bonjour,
Mon blog n'a pas était édité il y'a lomptemps vacance et vitesse de connexion au maroc oblige.
Mais j'ai écris un nouvel article qui traite de la conpatibilité du socialisme et du libéralisme.

Le socialisme et le libéralisme, incompatibles ?


On a souvent opposer dans l’histoire ses deux idéologies et elle se sont elles mêmes opposées, mais aujourd’hui alors que les mots rénovations et refondation sont employé par une bonne parti de la gauche (y compris par l’aile gauche du PS), on peut légitiment se poser cette question : le socialisme (modéré) et libéralisme (modéré est non le libéralisme poussé a son extrême) sont-ils réellement incompatible ?


L’extrême gauche n’a cessé de diaboliser le libéralisme, l’accusant quasiment de tous les mots de la société, y d’exploité la misère a des fins financières. Il est donc selon eux incompatible avec le socialisme et l’idée même de solidarité. Mais le libéralisme n’est pas incompatible avec le socialisme moderne et modéré, ni avec les principes de solidarité, puisque le travail est une des valeurs du libéralisme et qu’il permet a des personnes délaissé par la société , de reprendre confiance et de se réinséré dans la société.
Le libéralisme est défini par l’encyclopédie libre Wikipedia comme une idéologie « qui affirme les principes de liberté et de responsabilité individuelles. Il repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits naturels sur lesquels aucun pouvoir ne peut empiéter. En conséquence, les libéraux veulent limiter les prérogatives de l’État et des autres formes de pouvoir, quels qu'en soient la forme et le mode de désignation. » Le socialisme étant oppose au totalitarisme il n’est pas de ce fait incompatible avec le faite que « le libéralisme classique ne reconnaît pas de droits particuliers aux majorités, même démocratiquement élues. De la même façon qu’il interdit à un plus fort d’imposer sa volonté à un plus faible, il interdit à un plus grand nombre d’individus d’imposer leur volonté à un plus petit nombre. »

Je ne vois pas également pourquoi les socialistes ne se reconnaîtrai pas dans le fait que l’individu doit lui-même être maître sa vie, que ça vie n’est pas lié a un groupe. Qu’il soit libre en somme.
Mais il est aussi dit que « Rien dans le libéralisme ne s'oppose aux actions collectives, à condition que les associations qui les entreprennent soient entièrement volontaires et n'exercent aucune contrainte ni sur leurs membres, qui doivent pouvoir les quitter librement, ni sur les autres individus. », c’est tout a fait compatible avec l’aspect collectiviste du socialisme.

Concernant le faite de limité les prérogatives, déjà du point de vue moral en autorisant par exemple le mariage entre deux personnes du même sexes, les libéraux et les socialistes défendent pour la plus part la même position. Ils sont donc eux deux majoritairement libertaire.
Contrairement a ce qu’ont peut entendre souvent a l’extrême gauche, les libéraux ne pensent pas qu’au profit et reconnaissent (tout comme les socialiste) que l’initiative privé ne peux pas faire autant de choses que l’Etat et aussi bien qu’il le fait : « Et le troisième, c'est le devoir d'ériger ou d'entretenir certains ouvrages publics et certaines institutions que l'intérêt privé d'un particulier ou de quelques particuliers ne pourrait jamais les porter à ériger ou à entretenir, parce que jamais le profit n'en rembourserait la dépense à un particulier ou à quelques particuliers, quoique à l'égard d'une grande société ce profit fasse plus que rembourser les dépenses »
On décrit souvent une société social-libéral ou libéral comme une société individualisé ou les individus s’ignore, ou règne la loi du chacun pour soi. C’est bien sur faux « La société libérale idéale n’est ni une juxtaposition d’individus égoïstes étrangers les uns aux autres, ni une juxtaposition de communautés séparées, mais plutôt un enchevêtrement d’associations volontaires de toutes natures à travers lesquelles chacun peut travailler aux fins qu’il se donne, en coopérant librement avec ceux qui partagent tel ou tel de ses idéaux. »

Au niveau sécuritaire, les libéraux serait aujourd’hui du coté des socialistes et non du coté de Nicolas Sarkozy, comme le prouve cette phrase de Max Weber « Lui accorder (à l’Etat) « le monopole de la violence légitime » (Max Weber) a pour contrepartie nécessaire de limiter son domaine d’action de façon rigoureuse. » Le contraire de ce qu’a fait l’ancien ministre de l’intérieur.

J’espère que cette article sera alimenté la réflexion, car là est son but.

Réalisé par Yassine, le rédacteur du blog « socialisme-libéral » disponible a l'adresse suivante : http://socialisme-liberal.blogspot.com/



Source des citations : Wikipedia

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